Cette fois, l’idée de la réforme provient des instances européennes et non pas du corps législatif ou du gouvernement de la république française.
C’est précisément l’Union européenne qui entend harmoniser d’avantage la réglementation en vigueur au sein de ses pays en matière de sécurité automobile. L’objectif affiché est de réduire le nombre d’accidents sur les routes causés par un problème mécanique.